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Le blog de agence-traduction-paris

Prix moyen d’une traduction

Quel est le prix moyen d’une traduction ?

Commençons par une réalité désagréable à entendre dans le monde du low cost : La traduction est une prestation intellectuelle qui vaut ce qu’elle coûte. Une traduction qui ne coûte (presque) rien sera immanquablement une traduction qui ne vaut rien, dans un environnement professionnel en tout cas. Pour des raisons structurelles, il ne peut en être autrement.  

Pas plus en traduction qu’ailleurs, vous ne trouverez de Rolls au prix d’une patinette. Certes, c’est une mauvaise nouvelle, mais est-ce une surprise ?

La bonne nouvelle, c’est que la traduction pratiquée à des prix de marché coûte bien moins cher que les services d’un Expert-comptable ou d’un avocat, moins cher même qu’un jardinier en région parisienne… On ne fait pas fortune dans la traduction.

Si vous utilisez des services professionnels, le prix généralement exprimé au mot, va dépendre des éléments suivants :

Je crois que le traducteur est parti

Pas de communication sans traduction

Je crois que le traducteur est parti... Cette vidéo aurait pu vous amuser, mais hélas TF1 a cru bon de la retirer. Profitons-en pour préciser qu'un traducteur qui traduit oralement un discours oral s'appelle un interprète. Et notons au passage que dans bien des contextes, pas de communication sans traduction !

 

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La Coface assure la traduction pour les TPE

L'exportation : le problème de la traduction

La Coface, avec son Assurance prospection premiers pas, a mis le doigt sur un problème : celui de l'exportation des TPE et des petites PME, et notamment sur l'incroyable retard des mentalités françaises vis à vis de la traduction : 50% des exportateurs français n'ont pas de site web en anglais, sans parler des autres langues parlées sur leurs marchés.

 Le dispositif A3P assure 65% d'un montant maximal de 30 000 €, soit 19 500 €.

 Si votre investissement ne génère aucun chiffre d’affaires, vous n’aurez déboursé que 10 500 euros (30 000 -19 500).  S’il en génère, vous aurez à rembourser 10%, jusqu’à concurrence de 195 000 €, soit un maximum de 19 500 €, le montant de l’assurance Coface.

 L'occasion de prendre conscience que, sans traduction professionnelle du site web, de la documentation et des contrats, une TPE française conforte le cliché largement répandu et parfois justifié dans l'approche, de partenaire sympathique, mais amateur.

 

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Idées reçues : La traduction c'est facile

La traduction c'est facile, c'est cher et ça ne rapporte rien !

 

Une étude du Economist Intelligence Unit, filiale du journal économique The Economist donne un aperçu de la sous-estimation dramatique de l'enjeu linguistique dans les entreprises.

Ainsi, 49% des cadres interrogés sont conscients que la perte d'information liée à la traduction (ou à la non-traduction) a généré des pertes pour leur entreprise. 64% estiment que la barrière linguistique a rendu difficile leur implantation à l'étranger.

A vrai dire, ces chiffres ne surprennent guère. Mais le pire est le suivant : 47% pensent que leur entreprise ne fait rien pour y remédier.

Voici quelques hypothèses pour expliquer cette étonnante inertie :

- Ce qu'on appelle la mondialisation est un phénomène relativement récent, les conséquences au niveau linguistique n'ont pas encore été tirées par tous.

- Pour corriger une erreur, encore faut-il en être conscient. Or ce type d'information (sous-estimation des enjeux de la traduction et inadéquation des attentes et des process) mettrait en cause ceux qui les feraient remonter.

- Culturellement, les décideurs sont très insuffisamment exposés à ces enjeux. Mieux vaut avoir 18 en maths et 8 en anglais pour intégrer une grande école, que le contraire (cette enquête EIU étant mondiale, on peut penser que le mal n'est pas spécifiquement français).

- Une tendance à la surestimation de ses propres compétences en langues étrangères

Bilingue, peut vouloir dire :

Journée mondiale du livre et du droit d’auteur

Dale Carnegie, Hans Christian Andersen et Jules Verne sont les auteurs les plus traduits en Chine.

 

Et les trois premières places reviennent à Carole Bloch, Karen Kingsbury et Dianne Case en Afrique du Sud. Aux Émirat Arabes Unis, on privilégie les traductions de Lisa Bullard, Ute Krause et Doris Lessing, et en Argentine celles de José Trigueirinho Netto, Sigmund Freud et le yogi Ramacharaka. Les vedettes des Canadiens sont Bobbie Kalman, Robert L. Stine et Jean-Paul II, et celles des Australiens, Lorraine Wilson, Lyman Frank Baum et Paulo Coelho.

À l’échelle mondiale, Agatha Christie, Jules Verne, William Shakespeare, Enid Blyton, Lénine, Barbara Cartland, Danielle Steel, Hans Christian Andersen, Stephen King et les frères Grimm ont été les auteurs les plus traduits au cours des 30 dernières années, selon l’Index Translationum, bibliographie mondiale des traductions qui contient plus de deux millions de données sur 500.000 auteurs et 78.000 maisons d’édition de 148 pays.

Selon les statistiques de l’Index, les cinq principales langues cibles vers lesquelles on traduit sont l’allemand (avec 290.681 titres au cours des 30 dernières années), le français (237834), l’espagnol (228.142), l’anglais (145.184) et le japonais (124.241). Les cinq principales langues sources sont l’anglais (1.207.764), le français (213.340), l’allemand (196.535), le russe (100.848) et l’italien (65.423).

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